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Morgane de Back
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Morgane de Back

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Technique et dimensions

Pastel sur papier 46x60cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je m’appelle Morgane de Back, j’ai 20 ans et je suis passionnée de dessin et de peinture depuis petite, mais j’ai commencé à dessiner il y a 3 ans. Je suis autodidacte, j’ai toujours détesté qu’on me dise quoi peindre et comment peindre.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Je peins principalement à l’huile et au pastel. J’aime peindre des animaux car ils apportent un aspect sauvage et intouchable à une peinture. La peinture m’apporte l’équilibre et m’apprend la patience et la détermination.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins dans mon salon, accompagnée de mes chats qui me tiennent compagnie.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Ce qui a inspiré la peinture de Palowan, c’est le cheval Dandy des Bordes alias Palowan que j’ai en pension et que j’aime énormément. Je l’ai peint comme cadeau pour sa propriétaire. Palowan est un cheval aussi gentil qu’énergique, il a un côté très sauvage qui apparaît par moment, mais avant tout, il est d’une gentillesse infinie. 

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Ce tableau est très spécial pour moi car il représente l’amour que j’ai pour cet animal et son caractère insaisissable. J’ai aimé réaliser cette peinture car elle  alliait ma plus grande passion et l’animal avec lequel je suis la plus proche. Le peindre m’a permis d’encore mieux le comprendre. J’aime peindre des animaux car je trouve qu’ils apportent l’humanité et de l’honnêteté à l’homme. 

 

Contact

debackmorgane@gmail.com

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Monique Torner
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Monique Torner

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Technique et dimensions

Acrylique. 40x30cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Suite à une rencontre sentimentale qui a marqué ma vie en 2002, j'ai « osé » peindre sur une toile. Petite, je dessinais beaucoup, c'était un de mes passe-temps favoris. Les impressionnistes dont Van Gogh et Matisse, la lumière de leur toile, leur spontanéité, leur vie m'ont beaucoup passionné. J'ai toujours visité des galeries de peinture à Bruxelles et ici dans le Brabant Wallon. Des artistes comme Rik Wouters et beaucoup d'autres dont les sculptures m'ont éblouie également.  J'ai une grande amie qui a fréquenté l'académie de Wavre et est sortie brillamment de son cursus avec Monsieur Dominique Fournel dont j' apprécie beaucoup les toiles.

 

Où et comment peignez-vous ?

Depuis 19 ans donc, je peins en autodidacte en général sur des petites toiles étant donné que je n'ai pas de grands espaces pour peindre. Je peins dans ma cuisine debout, j'aime que la couleur soit dense et j'utilise des éponges, des couteaux, des textiles comme du raphia. La plupart de mes toiles sont abstraites.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Cette peinture très colorée m'apporte beaucoup de paix et de satisfaction.  Je suis très heureuse de dire que cette création vient de moi et que je ne m'inspire jamais des autres artistes.  Je me dois de dire que je suis très attirée par l'Afrique et que je peins pas mal de tableaux toujours abstraits ainsi que des masques inspirés de ce continent dont la création est purement personnelle.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Pour revenir à la toile que je vous ai envoyée... C'est une peinture, comme toujours très colorée qui m'a apporté beaucoup de plaisir et de joie de pouvoir « sortir » des émotions telles que la passion et le désir.  En ce qui concerne l'émotion des personnes qui me regarderont, je trouve qu'il est compliqué de parler des émotions ressenties par les autres !  J'espère que ces émotions susciteront l'enthousiasme et le plaisir.

 

Contact

monique.torner@gmail.com

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Fabienne Collard

Fabienne Collard

Technique et dimensions

Esquisse graphite et aquarelle. A4.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Dans la vie de tous les jours, j'ai été journaliste un long moment, et depuis une dizaine d'années, je travaille pour un centre de recherches sur des thèmes tels que la transition énergétique ou le réchauffement climatique. J'ai toujours dessiné, je suis autodidacte, mais ce qui m'a d'abord occupé c'est la photo. Je compte ainsi quelques publications et j'ai remporté en 2013 le prix Ilford, ce qui m'a permis d'être présente, la même année, au salon de la photo à Paris. Puis des soucis de santé m'ont détournée de ce média et après quelques années de pause, l'envie de m'exprimer s'est à nouveau fait ressentir, mais cette fois, je suis revenue au dessin.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Dessiner ou peindre, c'est un moment de sérénité et de calme, dans ma bulle. J'ai besoin de temps, d'avoir le temps... je rêvasse autant que je ne dessine. Et puis, en choisissant le portrait, c'est également le moyen pour moi, qui suis plutôt discrète et introvertie, d'exprimer une série d'émotions, à travers ces visages, que je ne verbalise que très rarement.

 

Où et comment peignez-vous ?

J'aime la simplicité et 'voyager léger'... j'ai fait pas mal de petits formats et la phase que j'affectionne le plus c'est l'esquisse, les premiers traits. Un bout de papier, un bout de fusain, un porte-mines et une gomme mie de pain, c'est déjà très bien. Dernièrement j'ai opté pour des formats plus grands, que je punaise sur une planche en bois avec laquelle je me pose où je trouve de la place dans la maison. Quand les choses viennent facilement, j'ajoute un peu de musique, à travers mes écouteurs, pour encore mieux profiter du moment.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Je continue à m'intéresser à la photo et aux photographes. Pour cette aquarelle, je suis partie d'un portrait de Félix Groteloh, dont je me suis ensuite éloignée pour donner quelque chose de plus simplifié et graphique. Ce que j'apprécie avec l'aquarelle c'est que je dois un peu laisser filer les choses... Cela contraste avec la rigueur que je peux mettre dans d'autres dessins. L'aquarelle apporte aussi une certaine douceur qui met en évidence la profondeur des regards.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J'aime conserver des bouts de visage incomplets... ces visages, ce sont un peu comme des cartes qui racontent toute une vie, les rides, les ombres, les tâches, les petites particularités, le regard… Laisser des bouts inachevés c'est comme leur laisser leur part de secrets…

 

Contact

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Anne Francart

Anne Francart
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Technique et dimensions

Peinture sur porcelaine.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Pensionnée à Wavre depuis janvier 2019 avec ma famille, ouf avant le confinement : Loin des problèmes de Bierset… J’ai été formée à la construction : papa était architecte… J’ai travaillé comme cartographe et aux calculs de l’isolation pour la Province de Liège. Nous cherchions un endroit calme et nous avons atterri à Wavre. J'étudie à l’atelier du Lavu avec Jacques Grégoire, très bon pédagogue pour tous (dessin )et aussi chez Monique Paquay à Waremme, celle-ci me fournit les couleurs et la cuisson très précise, de 500 à 800°C. Maintenant, je cherche un four proche de Wavre, hélas je suis très débutante en informatique, actuellement je peux peindre mais pas cuire ( avec le confinement au loin).

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Cela me permet l'évasion et j’adore transmettre la recherche du beau et faire plaisir pour des occasions : naissances, mariages, etc. 

 

Où et comment peignez-vous ?

Avec des pinceaux pointus très fins et des plumes d’écriture pour la précision et les contours, des pigments couleurs en poudre et des médiums gras, des spatules pour mélanger, du bleu Delft et cobalt, du gris, des assiettes en porcelaine blanche sans défaut et surtout propres, un pavé de céramique (palette pour les mélanges) et parfois un calque rouge pour les répétitions.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

La céramique est très ancienne, en Chine où la porcelaine est trouvée. Cela se dit « china » en anglais.  Argile feldspathique : kao-ling (os) et po-fouetsen (chair) fusion des deux à 1450° KAOLIN. Elle a subi différentes influences:  Chine, Indes, Japon, Hollande, Allemagne, France.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

La libellule est symbole de liberté et de joie et d’été et permet les créations, de différentes formes et couleurs irisées, cuivrées, bleues et divers, peu de rouge et de jaune (difficile à cuire et à mélanger).

 

Contact

anne_francart@hotmail.com

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Aline Godin

Technique et dimensions

Acrylique au pinceau et au couteau sur toile. 40x120cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je m’appelle Aline Godin, j’ai 39 ans et je suis maman de 2 garçons. Je suis infirmière de formation et depuis 6 ans je m’occupe de la gestion d’une maison médicale. Depuis ma tendre enfance j’ai toujours été attirée par l’art dans tous ses états. J’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont permis de tout essayer, danse, théâtre, piano. Il y a 3 ans j’ai repris le solfège pour renouer avec le piano et découvrir le chant. Mais la peinture à l’acrylique restait un art qui m’attirait de plus en plus et après m’y être initiée je n’ai plus su arrêter. Je suis autodidacte et m’inspire de l’art des autres comme influx et puis mes émotions font le reste.

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Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Pour moi l’art est non seulement un moyen d’exprimer mon état d’esprit mais surtout de permettre à ceux qui la regarderont de faire ressortir une émotion quelle qu’elle soit. Je suis quelqu’un qui aime partager avec les autres et quand je vois un regard émerveillé devant ma toile je suis au comble du bonheur. Et comme j’ai envie que cet émerveillement se prolonge le plus longtemps possible je pratique des prix très modestes afin que tout le monde puisse s’offrir ce bonheur. Je suis de celles qui pensent que l’art doit être accessible à tous.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins debout et toujours dans mon atelier, avec de la musique classique à fond. La musique me permet d’être complètement focalisée sur ma peinture sans penser à rien d’autre et ainsi me permettre de faire ressortir toute l’émotion que je veux transcrire sur la toile. Je m’essaie à toutes les techniques, le pouring, le couteau, le pendule, le sclash… Je n’ai pas de style défini, mais j’aime beaucoup peindre avec beaucoup de couleurs. La couleur est quelque chose de primordial chez moi, cela m’apporte de la gaieté de voir toutes ces couleurs.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

J’aime la nature et les arcs-en-ciel sont un phénomène tellement merveilleux, mais tellement éphémère que j’ai voulu en peindre un qui resterait visible plus longtemps tout en le faisant flou pour malgré tout rappeler qu’il ne sera pas éternel. J’aimerais que ma toile procure une sensation de légèreté et surtout qu’elle puisse être interprétée différemment en fonction des sensibilités de chaque personne qui la regardera.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Toutes mes œuvres ont une particularité, je les signe sur la tranche, ce qui permet à celui qui en possède une de pouvoir la mettre dans le sens qui lui plait. J’appose toujours ma signature sur la tranche inférieure côté droit comme ça je sais toujours dans quel sens moi je l’ai créée. Dans cette toile j’aime les couleurs et l’intégration des bulles, je lui confère une notion de légèreté. Le côté flou amène une sensation de pensée qui émerge, mais on ne sait pas encore quoi. On peut tout imaginer.

 

Contact

aline-godin@hotmail.com

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Aline Godin
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Viviane Halut

Technique et dimensions

Aquarelle. 54x72cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Influencée par des artistes dans la famille, j'ai toujours été attirée par l'art. Après mes humanités, j'ai exercé le métier de secrétaire de direction, mais très vite j'ai recherché à exprimer ma sensibilité dans différentes techniques (poterie, art floral, peinture sur soie). Lorsque j'arrête mon métier, je découvre, avec bonheur, l'aquarelle qui va devenir une très grande passion. Plusieurs années de cours chez des grands maîtres, de nombreux stages de formation et rencontres d’aquarellistes m’ont permis d’aller à la conquête des subtilités de cette technique. Au fil des ans, j’ai pu arriver à m’exprimer, à créer, en toute liberté.

 

Où et comment peignez-vous ?

Mes couleurs, mes pinceaux, sont les outils qui me permettent d’exprimer mes joies ou mes souffrances. Plus qu’une évasion, c’est un réel besoin, un bien-être… L’aquarelle se travaillant la plupart du temps en « mouillé », elle ne se prête pas très bien à un travail en extérieur, c’est pourquoi je peins toujours dans mon atelier, d’après des photos que je prends sur place.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J’adore la mer, j’y ai séjourné souvent et j’y ai pêché de nombreuses fois, aussi, sur cette estacade. Pour certaines personnes, une aquarelle n’est, somme toute, qu’un papier, pourtant je vous invite à vous laisser aller à pénétrer dans cette image, cette image, miroir de mon âme, miroir de mes émotions. C’est un voyage plein de sentiments.

 

Contact

viviane.halut@outlook.com

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Viviane Halut
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Nathalie Bamps

Nathalie Bamps

Technique et dimensions

Acrylique sur toile. 90x50cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Journaliste de profession, j’ai commencé à peindre il y a un an et demi en suivant des cours dans l’atelier de peinture d’une amie, Isabelle Malotaux. Je pensais au départ n’avoir pas les capacités, n’ayant aucune connaissance ni expérience en dessin. Je ne pratiquais aucune activité artistique, excepté un peu de photo noir et blanc en amateur.  Mais j’ai toujours été très attirée par la peinture, le dessin et la photographie également, surtout noir et blanc. Isabelle m’a poussée à me lancer à une époque de ma vie où j’avais besoin de retrouver du temps pour moi, une bulle de créativité. Je sortais d’un burn out léger, et n’ayant pas repris le travail à plein temps, j’avais un peu de temps pour moi. 

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

L’art pour moi est un partage d’émotions. Je le vois comme un moyen de se livrer en gardant une certaine pudeur, sans devoir mettre de mots sur ses ressentis. Peindre m’aide à lâcher-prise, à déconnecter pendant quelques heures et stopper les nombreuses ruminations qui peuvent m’habiter. Cela me détend, m’apaise, et m’apprend aussi à freiner mon côté perfectionniste pour simplement me laisser aller à ce qui vient.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins parfois assise, parfois debout, selon la taille de la toile. Soit à l’atelier, soit près de la porte-fenêtre dans ma salle à manger, pour bénéficier d'un maximum de lumière. J’utilise différents types de pinceaux, en fibre synthétique ou en poil de porc. Pour cette œuvre, j’ai pour la première fois utilisé le couteau également.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Ce tableau est une commande réalisée pour des amis proches. J’ai été inspirée par une photo que j’avais prise lors d’une promenade en hiver, sous la neige. J’ai toujours été tentée de dessiner des arbres, c’était une première. Je leur ai soumis la photo, elle collait à leurs envie, tant dans les tonalités, que dans le format. Ils  ont eu l’idée de ce petit chaperon donnant une touche de couleur au tableau monochrome, j’ai tout de suite adhéré. Au départ, j'espérais peindre des arbres très réalistes,  mais je me suis laissée emportée par mes émotions. A ce moment-là j’étais assez nerveuse, je travaillais à grand coup de pinceau sans trop réfléchir, seule à la maison, le Covid ayant obligé à la fermeture de l’atelier. Je n’avais plus aucun guide, j’ai beaucoup douté, travaillé et retravaillé dessus. J’ai même envisagé d’en faire une seconde version, craignant qu’il ne plaise pas. Mes filles m’ont beaucoup soutenue et encouragée, ainsi que des amis. Une fois que j’ai dessiné le petit chaperon, tout s’est apaisé dans ma tête,  et j’ai senti que ce que j’avais fait était juste.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J’aime le côté onirique de la forêt, les arbres ne sont pas réalistes, et cela lui donne un air enchanté. J’ai voulu un petit chaperon rouge un peu flou, à la fois pour donner de la légèreté face aux arbres menaçant, mais aussi une certaine fragilité. J’espère que ce tableau puisse toucher la part d’enfance que nous avons tous en nous.

 

Contact

nathaliebamps@yahoo.be

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www.artlimited.net

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Florence Heyvaert

Technique et dimensions

Bic sur papier. 55x75cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Passionnée depuis toujours par le dessin, celui-ci s'est imposé à moi comme une évidence. Principalement autodidacte, j'ai fréquenté plusieurs stages et cours privés ainsi que les académies de Braine-l'alleud, de Boitsfort et de Molenbeek. J'ai participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles ainsi qu'à divers parcours d'artistes en Belgique et en France (Normandie).

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

En ville, en voyage, ma soif de représenter le réel à travers le prisme de ma créativité artistique ne me lâche pas. Je quitte rarement mes outils de dessin. Tout est sujet à une poésie imagée, instantanés de vie, kaleidoscopes, visions de coin et de détails venus titiller différents aspects de mon imaginaire. Entre la feuille, le crayon, le bic, les couleurs, les matières, les lumières et moi se crée un dialogue intime habité par une grâce qui m'apporte une unité intérieure que j'ai envie de partager au travers de mes œuvres.

 

Où et comment peignez-vous ?

Chez moi, dans mon atelier, je  compose à partir de mes croquis, de mes photos ou de sujets glanés ici ou là.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Récemment tentée et séduite par la pratique du stylo bic qui étrangement me procure une sorte de méditation et aussi une découverte de nouveaux effets.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Dans mon œuvre, j'apprécie le plaisir simple de la contemplation de la nature. L'aspect inachevé permet à chacun d'entrer dans la magie du lieu, comme de l'œuvre et de la faire sienne par son imaginaire!

 

Contact

www.florenceheyvaert.com

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Florence Heyvaert
Vincent Vande Velde
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Vincent Vande Velde

Technique et dimensions

Peinture à l’huile sur toile cartonnée, étude par la technique du glacis. 40x60cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Chimiste à la retraite, la notion du temps change. Le temps d’étaler les suspensions lipidiques d’oxydes métalliques colorés et de les laisser se polymériser à l’air ambiant devient accessible. C’est à l’atelier de peinture de l’école des Beaux-Arts de la ville de Wavre, en 2013-15, que la technique des glacis m’a été enseignée. Beurrer successivement sa toile pour stratifier les pigments. Dans un glacis, ce serait donner à la lumière l’occasion de soit se perdre par adsorption dans l’épaisseur picturale, soit de se réfracter au sein des galeries des strates, puis, éventuellement, de se diffuser, avant, peut-être, de s’échapper à nouveau du tableau par réflexion. Un rêve en arc-en-ciel en quelque sorte : donner à chaque longueur d’onde l’occasion de s’exprimer. Générer plus de couleur que l’on en a donné. Comme c’est le cas pour la lumière qui scintille dans le réseau nanométrique des cellules d’ailes de papillons aux « couleurs » métallisées (et qui chimiquement ne contiennent pourtant aucun pigment). Une composition qui décompose la lumière et donc qui vous éclaire autrement.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Le chimisme des artistes peintres, c‘est étaler, disposer, proportionner, combiner, mélanger harmonieusement les couleurs (comme le cuisinier qui sait marier les aliments ou bien comme le jardinier qui sait rassembler les plantes amies pour une meilleure récolte). Bref, connaître les propriétés émergentes des matières. Celles qui font que 1+1 est parfois supérieur à 2, que bleu et jaune peuvent émerger en vert, que deux représentations juxtaposées questionnent, et donc se faisant « passe la main » au spectateur. Peindre m’apporte beaucoup de sérénité et de calme par rapport aux brouhaha extérieur.

 

Où et comment peignez-vous ?

Chez moi, exclusivement lors de journées bien ensoleillées, éclairé de par la gauche, avec de très modestes pinceaux, généralement qu’un seul pigment sur la palette (bien sûr avec un peu de blanc de zinc si nécessaire), rehaussé par de savantes formulations à base de térébenthine distillée « anglaise » et d’huile de lin purifiée (préalablement mélangées dans des proportions croissantes) en fonction de l’état d’avancement du travail et aussi de la hiérarchie successive des couches de glacis déjà déposées, puis surfacées ou appliquées sur une couche antérieure qu’impérativement durcie par de longues semaines de polymérisation siccative. Ces glacis montés en millefeuille peuvent alors taquiner la lumière.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Un artiste est une éponge de son époque. Il faut montrer que le désert n’est pas vide, qu’il contient plus de vie qu’on ne le pense, qu’une ruine n’est pas morte, qu’il y a des artisans vivants qui œuvrent et dont leur générosité va jusqu’à vous offrir l’imaginaire même.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Dans un « clair-obscur » : la force de la présence s’illustre par l’illusion de l’absence. Ainsi, le tailleur qui a patronné sa tulle de ciel dans l’ombre donne l’impression d’être absent face à la présence lumineuse de son œuvre bleue. Et inversement, un défilé de mode en plein désert est peut-être l’illusion d’un mirage qui renforcerait la présence du tailleur… Et pourtant le petit glacis bleuté sur l’habit du tailleur souhaiterait bien que tout puisse devenir réel ! Réussir un clair-obscur m’enchanterait et permettrait peut-être de transmettre, à celui/celle qui le voit, qu’une présence n’est pas illusoire, qu’une illusion peut toujours se concrétiser, que tout n’est jamais sombre, qu’il existe toujours une lueur d’espoir, que tout n’est pas complètement noir ou blanc, qu’il y a toutes les nuances et les coloris possibles.

 

Contact

v.vandevelde@skynet.be

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Marcel Jadoul

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Marcel Jadoul

Technique et dimensions

Aquarelle. 30x40cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Mon parcours artistique a débuté en 1940, j’avais 10 ans. Je faisais des copies de tableaux à l’huile, sous l’égide du peintre ucclois Minne. J’ai ensuite travaillé le dessin au crayon, au fusain et à l'aquarelle, ce qui m’a beaucoup servi pendant ma carrière de 50 ans d’architecture. Depuis ma retraite, je participe à des ateliers d’aquarelle, fermés actuellement, à Kraainem et à l’ENEO à Wavre. Je peins des paysages, des scènes de rue, des monuments dans leur environnement. Mais aussi quelques portraits, passion de toujours, au crayon ou à l’aquarelle.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

L’art est une émotion qui incite à passer à l’action : composer, sculpter, construire, peindre, voir ou entendre des œuvres. Et l’émotion apporte le plaisir.

 

Où et comment peignez-vous ?

Actuellement, je peins dans mon salon-atelier sur une planche à dessin inclinée légèrement, la lumière du jour venant de gauche. J’utilise toutes sortes de pinceaux dont des Daler Rowney, éponge, crayons aquarelle, selon ma fantaisie. J’interprète souvent mes photos prises sur site afin de bien reproduire la beauté si fugace des ciels, les contrastes, les ombres, lumières et couleurs.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Le tableau que je présente ici est l’expression d’un ressenti devant cette nature si belle en toutes saisons. Mon espoir est que l’émotion ressentie puisse attirer et être partagée. Comme la beauté et l’apaisement qu’apporte la nature.

 

Contact

mesaquarelles.eu

Anne Colleyn
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Anne Colleyn

Technique et dimensions

Encre sur papier de riz, technique de peinture chinoise. 135x83cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

J'ai fait mes études artistiques à l'INSAAV - La Cambre, à Bruxelles, dans l'atelier de Pierre Caille, début des années 70. Ensuite j'ai travaillé comme graphiste, tout en expérimentant de nouvelles voies d'expression artistique. Ceci m'a conduit tout naturellement dans l'atelier de Madame Peng Mei-Ling, à l'Institut des Hautes Études chinoises (Musée d'Art et d'Histoire au Cinquantenaire). Ce fut une véritable découverte, dont je lui suis très reconnaissante.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

La peinture chinoise permet la pure spontanéité, le lâcher prise, la connexion directe avec la beauté de la nature, les éléments, l'eau, le vent, l'énergie…

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins dans ma véranda, face au jardin, face au vaste ciel et au monde fascinant des oiseaux.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J'essaie de peindre des espaces imprécis, qui laissent le libre choix au non-dit.

 

Contact

acolleyn@skynet.be

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Chantal Renaert

Chantal Renaert

Technique et dimensions

Aquarelle et gouache sur papier kraft. 55x41cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je m'appelle Chantal Renaert, j'ai 68 ans et depuis que je sais tenir un crayon, je dessine. Autant dire que cela fait partie de mon ADN. Malgré une interruption de vingt ans en raison d'un travail à temps plein et de quatre enfants à éduquer, j'ai repris le dessin et appris l'aquarelle fin des années 90. Depuis lors, je peins et je dessine autant que possible.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

L'art est pour moi, avant tout, esthétique et compréhensible. J'aime peindre parce que cela me déconnecte totalement de la réalité et que cela me permet de me vider l'esprit en me concentrant totalement sur ce que je fais.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins n'importe où, peu importe l'endroit, c'est probablement le fait de faire des carnets de voyage qui m'a permis de n'avoir aucune contrainte quant au lieu où je peins ou au matériel que j'utilise.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Mes sujets sont inspirés par ce que j'aime ou ce qui me touche dans la vie. J'ai plutôt tendance à peindre des séries comme celle qui m'a été inspirée par mes petits-enfants, ou un voyage à Cuba, ou encore une autre qui m'a été inspirée par des vieilles voitures abandonnées. J'éprouve énormément de plaisir à voir apparaître sous mes doigts et mon pinceau un lieu ou un visage qui m'a émue. Je peins généralement sur base de photos sauf lorsque je fais un carnet de voyage.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J'aime tout particulièrement les architectures et les personnes. Je peins des maisons avec autant de plaisir que je fais des portraits ou des modèles vivants. La seule chose que j'espère faire passer c'est une émotion, peu importe laquelle du moment qu'il y a une émotion.

 

Contact

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Annick Poissoniez
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Annick Poissonniez

Technique et dimensions

Peinture à l'huile, au pinceau et au couteau, technique du glacis et recherche de luminosité. 50x60cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je m’appelle Annick et je suis née le 14 novembre 1958 à Watermael-Boitsfort. Je fréquente l'académie des Beaux-arts depuis plusieurs années en tant qu'élève libre. J'ai côtoyé son directeur Mr Somville, peintre connu (fresque métro Hankar), défenseur du réalisme, homme jovial, très à  l'écoute des élèves.

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Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Ce qui pour moi représente une approche de la vie dans son réel.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins chez moi en général là où je trouve une bonne lumière, le calme et la concentration. Alors l'inspiration est là et me guide.

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Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Mon œuvre transmet une ode à la nature et à sa beauté. Un apaisement dans sa contemplation, et un retour aux sources…

 

Contact

poissongaelle2000@gmail.com

Robert Wanscheidt
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Robert Wanscheidt

Technique et dimensions

Acrylique au couteau. 50x50cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je suis un retraité âgé de 74 ans. J’ai pratiqué longtemps la photographie.

 

Qu’est-ce que peindre vous apporte ? Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

Mon approche de la peinture acrylique commence en pratiquant du « pouring » ; mais après un certain temps je constate que le contrôle du résultat n’est pas optimal. Alors avec la peinture et les quelques pinceaux que je possède je peins une toile non utilisée pour le pouring. Je la montre à un ami qui me dit qu’il y a de l’idée et me conseille de la garder et de continuer. Je me rends vite compte que cette pratique est source de détente et de satisfaction.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins dans l’ancien bureau de mon épouse que j’ai transformé en atelier et aussi en partie dans mon bureau, que j’ai squatté pour les formats qui sont trop grands pour le chevalet de table.

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Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Cette réalisation est un mélange d’inspirations glanées sur les galeries en ligne. Je trouve qu’elle suggère un relâchement, une liberté.

 

Contact

robwan@icloud.com

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robwan.org

Karol Vallee
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Karol Vallee

Technique et dimensions

Acrylique et collage. 100x100cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Artiste autodidacte belge. J’ai depuis toujours baigné dans la peinture, toute petite déjà, regardant mon père peindre, j’étais fascinée par cet art. La peinture a très vite fait partie de mon quotidien, mais durant mes études de stylisme et les premières années de ma vie active, cela restait un hobby. Mon métier de stylisme m’a également beaucoup influencée pour développer dans la peinture des techniques de textures et une approche d’harmonisation des couleurs.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

L’art est une façon de s’exprimer, de s’extérioriser facilement et librement, cela touche le cœur et l’âme de chacun. La peinture m’apporte une paix intérieure ; c’est une sorte de méditation, un défoulement de l’esprit. La peinture abstraite est devenue depuis les années 2000 mon activité principale. Ce style de peinture est, je pense, la face visible de son « moi » caché, c’est le miroir de nos illusions, nos rêves. C’est une peinture intuitive qui prend vie sans préméditation, elle se construit comme « dictée » par l’âme, l’état d’esprit de l’artiste influence l’adaptation sur la toile. Ce qui semblait être illusion devient réel.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins dans une pièce chez moi réservée à cet effet, j’utilise des pinceaux, des rouleaux, des éponges, des brosses à dents, des spatules, bombes aérosols et autres objets détournés que j’expérimente dans ma peinture pour toujours me surprendre dans le rendu d’un nouvel effet. Chaque œuvre est un nouveau défi et doit toujours être différente.

 

Quelle est l’histoire de votre œuvre ?

J’ai imaginé une montagne, le sommet est enneigé, la montagne est bleue sur une planète imaginaire, je pensais à une montagne au Tibet, ce qui m’a fait penser à Tintin au Tibet. Le rouge représente la lave, mais se transforme en champignon, les fameux champignons dans Tintin. Pour arriver sur cette planète il faut emprunter un passage, c’est la porte à l’arrière-plan en noir hachuré de blanc. C’est un monolithe comme dans le film Space Odyssey qui est le déclencheur de l’intelligence humaine, et dans cette œuvre le déclencheur du questionnement, le spectateur devient malgré lui le réalisateur de l’histoire de cette peinture.

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J’aime spécialement les couleurs « pep's » et vibrantes de cette toile, elle dégage une humeur joyeuse. J’espère transmettre cette positivité et attirer le questionnement sur la découverte de l’œuvre. L’interprétation personnelle de chacun devant les différentes peintures, est pour moi la plus belle récompense, réussir à faire voyager les spectateurs au plus profond de leur imagination, et réinventer l’histoire.

 

Contact

karol.vallee@hotmail.fr

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www.karolvallee.com

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Régine Van Eeckhoudt

Regine Van Eeckhoudt

Technique et dimensions

Aquarelle. 24x32cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Dès l'âge de 6 ans, mon plus grand bonheur était d'aller à l'école des Beaux-Arts de Wavre. J'y suis restée jusqu'à mes 15 ans, puis j'ai décidé de continuer ma scolarité à l'institut Sainte-Marie à Bruxelles en option Arts plastiques. J'ai ensuite fait un graduat en peinture et gravure au « 75 » à Woluwé. En 1986, j'ai ouvert un commerce à Wavre tourné vers l'artisanat. À partir de 2002, j'ai cessé cette activité afin d'être plus présente pour mes deux enfants. C'est à partir de ce moment-là que j'ai suivi les cours de Marie-Christine Demeure à « l'Atelier D » à Wavre, que je fréquente toujours à l'heure actuelle avec beaucoup de plaisir.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

La peinture et plus particulièrement l'aquarelle, m'apporte énormément de plaisir. Dessiner et peindre sont mon moyen de communication et je ne peux pas m'en passer.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je peins beaucoup à l'Atelier D, mais aussi chez moi dans la véranda transformée en atelier.

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Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

C'est une question difficile, je transmet sans doute mon caractère, mes émotions. J'aime peindre des objets ou des situations du quotidien. J'interprète des objets qui ont une histoire (vieux vélos, vieilles clés, etc.) ou des sentiments (amour, solitude, etc.)

 

Contact

artetformes@skynet.be

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Anne Gillard

Anne Gillard

Technique et dimensions

Collage. A4.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

J'ai 57 ans, j'ai quatre filles. Je travaille à l'Institut St Jean-Baptiste comme professeur de français (licence en philologie romane, hispanique et portugaise, diplôme supérieur en théologie). J'ai également été élève à l'académie des Beaux-arts de Wavre, à l'adolescence d'abord, puis de 2006 à 2016. J'ai fréquenté l'atelier de dessin, mais aussi les ateliers de gravure et de céramique. J'aime écrire et ai travaillé avec Michel Lambert (ateliers d'écriture).

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

J'ai toujours aimé lire, dessiner, écrire, rêver… Créer, quoi ! Dans le domaine de l'art, j'aime le papier dans toutes ses déclinaisons : aquarelle, pastels, mais aussi livres d'artistes (mes élèves en réalisent dans le cadre du cours de poésie, mais aussi d'histoire de l'art). Le travail proposé ici est un collage. Avec cette technique, je crée des univers bizarres, oniriques. Les lois de la perspective sont subverties et les objets détournés. J'aime créer des mondes étranges, car je pense que l'étrange est partout, dans une veine plus symboliste que surréaliste. Mais en Belgique, nous sommes tous un peu bizarres, non ?

 

Où et comment peignez-vous ?

Je travaille chez moi, dans la salle à manger qui jouit d'une belle lumière du Nord. Mes travaux n'ont pas de titre, pour laisser la liberté à ceux qui les contemplent d'imaginer ce qui leur convient. En général, je choisis un format A4, plus facile à photocopier. Mais il faut reconnaître que j'aime les petits formats… Pour les collages, j'aime travailler dans des camaïeux. Pour les dessins, j'aime partir, de toute façon, de photos que je mélange de manière à créer l'espace qui me convient. En général, les photos sont de moi. Mais pour les collages, je m'amuse à découper des revues de déco et à détruire les baraques hors de prix (et toutes les mêmes !) qu'on y propose...

 

Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

Créer est une nécessité pour moi. J'offre volontiers mes textes ou mes travaux. J'aime bien faire naître des sourires mais aussi susciter des interrogations…

 

Contact

annegillard.wavre@gmail.com

Alice Devleeschouwer
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Alice Devleeschouwer

Technique et dimensions

Gouache. 140x45cm.

 

Présentez-vous.

Qui êtes-vous ? Quelle est votre histoire personnelle avec l’art ?

Je m'appelle Alice, j'ai 24 ans et je suis professeure de français. Je pense avoir une relation très classique à l'art. J'ai toujours eu énormément d’univers dans la tête et observer ceux inventés par les autres me fascine depuis l'enfance, qu'ils soient mis en scène par la peinture, l'écriture ou la musique. J'ai toujours eu besoin d'expliciter les miens également, par les mots ou par le pinceau.

 

Quelle est votre vision de l’art ? Qu’est-ce que peindre vous apporte ?

Je pense que ça me sert aussi bien d'échappatoire que d'ancrage. Je crée donc rien n'existe, je crée donc j'existe.

 

Où et comment peignez-vous ?

Je n'ai vraiment absolument aucun rituel en peinture et je pense que beaucoup de gens s'arracheraient les cheveux de la tête en me voyant faire (ma mère frôlait la crise cardiaque chaque fois qu'elle me voyait avec une toile d’un mètre dans mon lit, avec ce que ça implique de gouache sur les draps). Maintenant, je peins toujours beaucoup depuis mon lit, mais aussi parfois étalée dans notre salle à manger et ce sont mes colocataires qui grincent des dents devant les tâches sur le sol. C'est la même chose avec mes outils : je fonctionne avec ce qui me paraît le plus efficace à ce moment-là parmi ce que j’ai sous la main, dans la position la plus pratique et confortable à la fois. J'improvise beaucoup.

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Qu’aimez-vous dans votre œuvre et

quelle émotion espérez vous transmettre à celui/celle qui la voit ? 

J'aime beaucoup mêler les mots et le dessin. C'est un triptyque très personnel, qui évoque la dépression et les troubles anxieux, mais aussi la volonté d'être là, la résilience et j'espère que l'ensemble est plutôt positif. En tous cas, j'estime que l'émotion dominante est plutôt l'espoir. C'est important pour moi de les classer dans cet ordre là, pour finir sur le vert. J'ai toujours eu l'impression que mon cerveau ne fonctionne pas comme celui de la plupart des gens. Je l'ai souvent traîné comme un boulet malveillant, lui qui n'arrive pas à s'organiser, à se concentrer, qui me fait vivre les choses trop intensément. Il rend tout plus difficile, il me fait parfois voir le monde en très sombre. C'est compliqué d'expliquer aux gens qu'on a l'impression d'être sabotée par son propre cerveau, de leur promettre qu'on fait de notre mieux alors que tout semble dire le contraire. C'est compliqué d'appeler à l'aide aussi, je crois que ça fait partie du sabotage. Je pense que cet ensemble a globalement deux buts. Le premier est de me souvenir qu'on ne se noie pas dans les verres d'eau, que ce n'est pas parce que je me sens complètement vide que je vais perdre pied. Le deuxième est d'expliquer mieux les luttes qui se jouent dans ma tête et dans mon corps. Les poèmes et la gouache parlent mieux que moi, avec plus de nuances que moi. Un troisième objectif, ce serait de rappeler aux gens chez qui la dépression, la neuroatypie, la différence ou la solitude font écho qu'on n'est jamais tout seul, que ça va aller mieux puis qu'on a la rage autant que le droit d'être là, même quand c'est dur, même quand on a l'impression d'être un tigre enfermé dans le corps d'un chaton.

 

Contact

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